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Photo du rédacteurThomas

Once upon a time at the end of the world Tome 1

Dernière mise à jour : 20 mai


Bannière Once upon a time at the end of the world

  • Résumé :

Voilà des jours que Mezzy navigue sur sa barque de fortune, traversant des continents de plastique fondu, évitant des abysses infernaux et des geysers de feu noir. Elle n'a pas croisé âme qui vive depuis des lunes, et ses vivres sont à présent épuisés. Elle n'a maintenant d'autre choix que d'errer dans une jungle urbaine hostile où elle espère trouver de quoi se nourrir. Mais une rencontre inattendue va tout changer. Le jeune Maceo, avec lequel elle n'a rien en commun, entre soudain dans sa vie. Vaut-il mieux parcourir une planète ravagée seule, ou accompagnée ?


  • Critique : 

Des comics basés sur des récits post-apocalyptiques, on nous en propose assez régulièrement et avec toutes sortes de variantes pour créer de la surprise, de la nouveauté et honnêtement, le post apocalyptique est tellement proposé à toutes les sauces que ça devient difficile de surprendre et de proposer de la nouveauté.

Je ne vais pas vous le cacher, quand j’ai commencé le premier chapitre de “OUATATEOTW” (ouais les abréviations c’est pas toujours ça) j’ai failli lâcher parce qu’il m’a fallu ce temps pour comprendre sur quoi on allait. 

En fait, le premier chapitre sert principalement à découvrir qui est Maceo et comment il a rencontré Mezzy et cette partie est sympathique, mais ne propose rien de fou non plus. D’ailleurs, si je l’avais lu en floppie, j’aurais probablement abandonné la série et j’aurais fait une erreur. 


C’est lors du second chapitre que la mayonnaise prend, quand le duo Mezzy / Maceo se forme. Leur duo est tellement improbable que ça fonctionne instantanément, leurs personnalités étant totalement différentes. Petit à petit, on en apprend plus sur les personnages et leur parcours respectifs et surtout le fait que Mezzy soit visiblement pourchassée et pas par quelqu’un qui lui veut du bien… Je ne vous dirais pas qui la pourchasse, mais c’est cet élément bien particulier qui apporte le petit grain de folie de cette série et j’ai beaucoup aimé. C’est juste le dosage qu’il faut et c’est plein de détails qui viennent donner envie d’en savoir plus et de suivre la série. 


J’ai eu un sentiment étrange à la fin de ce premier tome à cause de mon changement d’impression en cours de lecture, mais j’ai aussi eu l’impression d’avoir à faire à une série particulière qui a tout le potentiel pour me rester en mémoire et m’apporter ce petit frisson quand j’en parlerais à quelqu’un.


Concernant l’aspect graphique, j’ai adoré instantanément la couverture que je trouve sublime, mais je sais d’avance qu’elle frustrera pas mal de lecteurs qui s'attendront à trouver le même style en ouvrant le tome et ce n’est absolument pas le cas. Je ne qualifierais pas le dessin de beau, mais disons qu’il a un charme assez fou qui donne son identité au titre, et même une certaine âme.


  • Conclusion : 

Once upon a time at the end of the world est un titre qui sort vraiment de l’ordinaire. Je n’ai pas accroché tout de suite, mais la relation entre les deux personnages, les antagonistes et les touches décalées de la série m’ont vraiment séduit. Quant au dessin, il apporte beaucoup au titre.


Thomas.

 

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Note : Je dis oui !
Les différentes notations

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